New Zooland
New Zooland, c'était sous ce sobriquet que U2 avait baptise sa tournée Zoo TV chez les Kiwis. Ils n'étaient pas venus depuis la tournée POP MART en 97. Du coup, inutile de dire que les places des deux concerts initialement prévus en mars s'étaient vendues comme des petits pains. Lorsque ces concerts ont été annulés pour des raisons qui m'échappent et reportes au mois de novembre (les 24 et 25 novembre derniers pour être précis) on s'était dit que c'était la, une opportunité unique de se rattraper après le placement douloureux du concert parisien de juillet 2005, comme le prouve la photo suivante.
On ne peut faire plus à l'opposé de le scène. Et encore, je ne raconte pas la galère pour pécho ces billets. Bref. Le concert avait été excellent, vraiment excellent et pourtant je hais de toutes mes tripes les 2 derniers albums de U2 et l'attitude de kéké-sérieux de Bono. Mais ils étaient bons, on retrouvait lors du concert l'ambiance bonne déconne de Zoo TV ou du Pop-Mart tour.
Retour en Nouvelle Zélande, vendredi 24 novembre, juste après le boulot:
Malheureusement, les tickets étaient encore sold-out. Seulement, avant le concert parisien on voyait des gens vendre ça et là des billets a la sauvette, pour des prix normaux. Suivant la même logique, on se dit que devant le Mount Smart Stadium d'Auckland ce sera la même chose. Premières impressions. Raté, personne ne vend ses billets et sur e-bay, ils étaient deux fois plus cher. Et puis on repère une petite cabine a l'une des entrées du stade ou des gens viennent retirer des tickets achetés sur le net. On va demander, naïf qu'on est, s'ils ont des billets. En effet. C'est avec les yeux ronds comme des queues de pelle qu'on sort la carte de paiement. 2 tickets General Admission (la fosse quoi) pour le prix de vente normal a la billetterie tardive. On rentre dans le stade, on se dit qu'il y a déjà pas mal de monde, mais on se trompe, on rentre dans le carre de l'avant scène, un endroit peinard ou l'on est sur de ne pas se faire écrasé par la foule et ou l'on est près a toucher la scène. Soit le symétrique inverse de notre placement du concert parisien. Malheureusement, c'est compter sans le temps pourri de la Nouvelle Zélande et il pleut.
Première partie: Kanye West. Une fois de plus la première partie souffre d'une balance encore foireuse et la voix du rappeur se perd dans le quintette a corde qu'il a invite sur scène pour l'accompagner. Toutefois, il a joue ses tubes (Golddigger, Jesus Walk with Me, Touch the Sky, 'Eard The Say) mais le public était assez froid et il pleuvait.
Puis assez longue attente avant que u2 n'arrive, mais l'avantage d'être dans cette partie de la fosse nous permet de nous dégourdir les jambes de temps en temps et CA TUE. Et puis en plus, on regarde les gesticulations d'un pathétique bonhomme qui se prend pour Bono et qui se fait prendre en photo par tout le monde.
Puis les premiers mesures de Wake Up de Arcade Fire sonnent pour annoncer l'arrivée de u2 sur scène.
Au final, le concert en soit était un peu décevant, le groupe, reprenant une tournée interrompue était en petite forme, les procédés de mise en scène moins nombreux qu'avant et Bono de retomber dans ses petits travers de boulet moralisateur. Au moins on aura eut droit a One Tree Hill, chanson hommage a un roadie kiwi tue a moto et nom d'un parc d'Auckland (et accessoirement chanson de l'album Joshua Tree). Et puis il faisait froid, même si la pluie s'était arrêtée. Bref, un concert sympathique parce que bien placé et que ça aide, mais bon, va falloir se réveiller les vieux la!
On ne peut faire plus à l'opposé de le scène. Et encore, je ne raconte pas la galère pour pécho ces billets. Bref. Le concert avait été excellent, vraiment excellent et pourtant je hais de toutes mes tripes les 2 derniers albums de U2 et l'attitude de kéké-sérieux de Bono. Mais ils étaient bons, on retrouvait lors du concert l'ambiance bonne déconne de Zoo TV ou du Pop-Mart tour.
Retour en Nouvelle Zélande, vendredi 24 novembre, juste après le boulot:
Malheureusement, les tickets étaient encore sold-out. Seulement, avant le concert parisien on voyait des gens vendre ça et là des billets a la sauvette, pour des prix normaux. Suivant la même logique, on se dit que devant le Mount Smart Stadium d'Auckland ce sera la même chose. Premières impressions. Raté, personne ne vend ses billets et sur e-bay, ils étaient deux fois plus cher. Et puis on repère une petite cabine a l'une des entrées du stade ou des gens viennent retirer des tickets achetés sur le net. On va demander, naïf qu'on est, s'ils ont des billets. En effet. C'est avec les yeux ronds comme des queues de pelle qu'on sort la carte de paiement. 2 tickets General Admission (la fosse quoi) pour le prix de vente normal a la billetterie tardive. On rentre dans le stade, on se dit qu'il y a déjà pas mal de monde, mais on se trompe, on rentre dans le carre de l'avant scène, un endroit peinard ou l'on est sur de ne pas se faire écrasé par la foule et ou l'on est près a toucher la scène. Soit le symétrique inverse de notre placement du concert parisien. Malheureusement, c'est compter sans le temps pourri de la Nouvelle Zélande et il pleut.
Première partie: Kanye West. Une fois de plus la première partie souffre d'une balance encore foireuse et la voix du rappeur se perd dans le quintette a corde qu'il a invite sur scène pour l'accompagner. Toutefois, il a joue ses tubes (Golddigger, Jesus Walk with Me, Touch the Sky, 'Eard The Say) mais le public était assez froid et il pleuvait.
Puis assez longue attente avant que u2 n'arrive, mais l'avantage d'être dans cette partie de la fosse nous permet de nous dégourdir les jambes de temps en temps et CA TUE. Et puis en plus, on regarde les gesticulations d'un pathétique bonhomme qui se prend pour Bono et qui se fait prendre en photo par tout le monde.
Puis les premiers mesures de Wake Up de Arcade Fire sonnent pour annoncer l'arrivée de u2 sur scène.
Au final, le concert en soit était un peu décevant, le groupe, reprenant une tournée interrompue était en petite forme, les procédés de mise en scène moins nombreux qu'avant et Bono de retomber dans ses petits travers de boulet moralisateur. Au moins on aura eut droit a One Tree Hill, chanson hommage a un roadie kiwi tue a moto et nom d'un parc d'Auckland (et accessoirement chanson de l'album Joshua Tree). Et puis il faisait froid, même si la pluie s'était arrêtée. Bref, un concert sympathique parce que bien placé et que ça aide, mais bon, va falloir se réveiller les vieux la!