Cours de danse en direct

Samedi j’ai battu mon record au cours de comédie musicale, rebaptisé Broadway: 9 élèves alors qu’il y a 3 semaines, pendant les vacances scolaires, j’étais descendue à 0 après avoir plafonné à seulement 3 les semaines précédentes. Il semblerait que le buzz autour du cours se répande enfin…

Coup de chance également c’est aujourd’hui que j’avais prévu que Nico vienne filmer le cours pour vous en montrer un peu (il viendra filmer les cours de contemporain aussi…). Voici des extraits de la chorégraphie apprise pendant la deuxième moitié du cours (les exercices ce sera pour la prochaine fois peut-être). Je fais travailler la chorégraphie Mein Herr du film Cabaret en ce moment.

Pardon d’avance pour le montage fait à la va-vite et la longueur de la première vidéo dans laquelle j'ai pourtant coupé allègrement (mais je me suis dit que ça pouvait en intéresser quelques uns de voir à quoi ressemblent les explications). Pardon également pour mon accent pas au top, mes explications un peu confuses et ma technique souvent approximative… les kiwis sont indulgents.

Apprentissage de la chorégraphie en fast forward ou presque




Et au final ça donne quelque chose comme ça...

Viens donc faire un tour à Matamata

On a souvent comparé le Seigneur des Anneaux à Star Wars. Dans les 2 sens. George Lucas ne s’est jamais caché s’être inspiré du livre de Tolkien pour écrire sa saga. Et lorsque Peter Jackson s’est jeté dans l’aventure, la notion même de trilogie ciné renvoie directement à la plus célèbre d’entre elles : Star Wars. La boucle est bouclée en quelque sorte.
Une autre similitude assez inattendue :
Lorsque George Lucas a commencé à tourner le premier film en mars 1976 en Tunisie. L’un des décors qu’il a déniché afin d’y installer la maison où Luke Skywalker y a passé toute son enfance se trouvait dans une ville nommée Matmata.

Et bien Peter Jackson, consciemment ou non a filmé l’endroit où Frodo Baggins, le personnage principal de LOTR, a passé son enfance près d’une petite ville à 150 ou 200 kilomètres au sud d’Auckland nommée Matamata. Quoi qu’il en soit, la similitude n’a certainement pas dû lui échapper.

En réalité, c’est une immense ferme, un terrain énorme et vallonné, avec un troupeau de 13000 moutons. C’est aussi le seul endroit en Nouvelle Zélande où il reste encore des éléments de décor apportés par la production. La raison pour laquelle ils n’ont pas détruit le décor comme partout ailleurs. Une pluie torrentielle s’est abattue alors qu’ils avaient commencé le travail, interrompant les ouvriers. Les décors sont donc resté à moitié défaits, pas ou peu entretenus, la nature (et les moutons) reprenant le dessus.

Et pourtant, tout est là, les trous de Hobbits à flanc de colline, l’arbre de la fête de Bilbo, au loin, la berge et l’auberge des Hobbits… Tout ça… Snif…

Bref, voici une nouvelle comparaison à l’usage des néophytes entre la réalité et le talent des hommes de la technique du cinéma, entre directeur de la photo et étalonneurs qui vont vous transformer cette banale image de film de vacance en voyage multi-oscarisé.

C'est un pays bel et bien valonné. Comme l'Ecosse. Qu'ils sont mignons ces 2 Hobbits dans le cadre.

Des moutons empaillés pour nettoyer vos chaussures des petits cadeaux qu'ils laissent ça et là. Les moutons.

Un bien étrange arbre.


Le Party Tree 1 & 2. Là où les joyeux Hobbits fêtent les 111 ans de Bilbo.

Le même vu du flim.

La Colline à trous de Hobbits

La même vue d'une grue, parcequ'on a pas les mêmes moyens, PJ et moi...

Le lac avec en face, la berge où se trouvait la place commune de Hobbiton et le pont.

Le même lac dans le film. Notez au fond à droite.

Une "pierre" du pont (polystyrène peint). Tellement réaliste que l'fermier il y a fait passer l'tracteur lo! Et que ça a tenu. Mais qu'il le savait pas que c'était pas un vrai pont. Le gros béta!

En haut, la maison de Bilbo

Un peu plus prêt.

Dans le flim



Quelle jolie perspective.

Un effet totalement raté et tellement honteux que ça devrait être censuré.

Contre-champ magique! *notez la composition*

Un reliquat de tournage. La poulie servant à accrocher...

La bannière Happy Birthday Bilbo Baggins

C'est la fête

C'est le retour avec Gandalf (non ce n'est pas que le nom d'un prof de danse de Hip Hop à Auckland)

Quelque part entre Neverland et le pays d’Oz, le Wai-O-Tapu Thermal Wonderland

Samedi, après un superbe breakfast de bagle, bacon et œufs en tous genres, nous avons pris la route pour le parc volcanique de Wai-O-Tapu Thermal Wonderland, au sud de Rotorua.


Les photos et petites vidéos (bientôt un mini reportage perso) seront certainement plus parlantes que les mots. Une profusion de couleurs, textures, senteurs, sons et coins merveilleux tout droit sortis de contes de fées ou de la chocolaterie de Willy Wonka, pour une balade tranquille de trois heures. Ici, des cristaux jaunes fluo, de la boue argentée qui bouillonne, une cascade couleur d’opale, une immense étendue d’eau à 74° que l’on discerne à peine sous les nappes de vapeur. Là, un grand lac vert émeraude, une marre bleue turquoise, de la mousse orange, une forêt luxuriante multicolore. Le spectacle est saisissant, le long de la yellow brick road.

Mud pool bouillonnante




Vapeur et couleurs











La terrasse d'opale





The oyster pool



Green crater lake Ngakoro, vieux de 760 ans




The Champagne pool, 74°C







The Devil's Bath




Le long de la yellow brick road