Money money money !
Loin de nous de dire que la Nouvelle-Zélande c’est génial et que la France ça pue et que de toute façon on avait bien raison de s’en aller passque la France va mal, elle va droit dans le mur, c’est une catastrophe, t’façon les français sont des veaux, c’est bien connu, peuple de blaireaux tout ça. Non. Il est également hasardeux de comparer le fonctionnement d’un pays peuplé de 4 millions d’habitants face à un pays qui en compte 60 millions. De même qu’il m’est interdit de sortir les clichés habituels sur les impôts et ses vampires du fisc. C’est ainsi et agiter les bras comme un con n’y changera rien et ne donnera qu’un arrière goût de conversation de café du commerce.
Toutefois, il n’est pas interdit d’apprécier la souplesse du régime néo-zélandais. Renseignements pris, depuis 1984, l’état Kiwi s’efforce de simplifier au maximum les charges de fonctionnement du gouvernement sans en diminuer son efficacité. A commencer par le régime des impôts. En clair, charges, taxes et autres impôts sont directement prélevés à la source. Bon en France on a la mensualisation me direz-vous. Certes, cela étant ça reste un prélèvement d’une année sur l’autre. Mais peu importe. Là où l’on apprécie aussi la simplicité du système, c’est les impôts locaux sont fondus dans les loyers (pour les propriétaires, là, je n’aurais pas de réponse à donner) qui restent quand même assez bas (pour mémoire, environ 600 euros par mois pour notre appartement de 45 m² en centre ville, meublé et tout équipé).
Tout cela pour dire que je viens d’avoir mon premier salaire (payé en totalité tous les mois, le 15 du mois pour le mois en cours) et de ces 1500 euros mérités à la sueur de mon front et de ma souris, je n’aurais pas à prévoir que l’an prochain je devrais en garder une certaine somme à reverser en impôts iniques et injustes prélevés sur le dos des contribuables pendant que le gouvernement fédéral et l’ONU se gavent sur l’autre dos des honnêtes travailleurs américains et que (« Paulo, tu me remets une chopine de Kro ! »). Enfin bref, non c’est bien, c’est agréable et du coup je me suis acheté deux t-shirts pour fêter ça. Et pour Julie c’était une chemise et un t-shirt. Trop bien. Youhou !
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